... ou comment une collection de boîtes d'allumettes peut donner des couleurs à la vie.
La danse Chhau est une tradition de l’Est de l’Inde qui s’inspire d’épisodes d’épopées, dont le Mahabharata et le Ramayana, du folklore local et de thèmes abstraits.
Ses trois styles distincts proviennent de trois régions : le Seraikella, le Purulia et le Mayurbhanj ; les deux premiers utilisent des masques.
Plus de 10 000 palais répartis sur 73 villages du Tamil Nadu ! Ils sont l'oeuvre des Chettiars, des commerçants, une communauté qui a fait fortune au XIXème et au début du XXème siècles. Chettiar est un titre utilisé par diverses castes commerciales, agricoles et foncières dans le sud de l'Inde. Non seulement ils ont édifié de somptueuses demeures mais ils ont aussi repensé la géographie urbaine – rues orthogonales, gestion de l’eau, innovations techniques. Bref, un véritable développement urbain implanté au milieu de la ruralité sauvage du Tamil Nadu.
La lutte devient-elle à ce point à la mode en Inde que tout film la choisissant pour toile de fond soit garanti de cartonner au box-office ? C’est ce qui est arrivé à deux des plus grosses productions récentes de Bollywood. Sorti sur les écrans en juillet 2016, Sultan, d’Ali Abbas Zafar, a ramassé 3 milliards de roupies de recettes (42,5 millions d’euros) dans le sous-continent et 82,3 millions d’euros à l’échelle mondiale – la quatrième meilleure performance de tous les temps pour le cinéma indien.
Le théâtre Kathakali est une forme de théâtre dansé originaire de l'Etat du Kerala dans le Sud de l'Inde. Il est une combinaison spectaculaire de drame, de danse, de musique et de rituel.
Le Râmâyana, c'est-à-dire « le parcours de Râma», est la plus courte des deux épopées mythologiques de langue sanskrite composées entre le IIIéme siècle avant J.C et le IIème siècle de notre ère. Constitué de sept chapitres et de 24 000 couplets (48 000 vers), le Râmâyana est, comme le Mahâbhârata, l'un des textes fondamentaux de l'hindouisme et de la mythologie hindoue. Le poème est traditionnellement attribué à l'ermite légendaire Valmiki.
Le mehndī désigne habituellement l'art du dessin fait au henné sur la peau.
Le mehndi est un équivalent éphémère du tatouage. Il est encore ou était populairement utilisé dans certaines parties de l'Asie.
Au Bangladesh et au Cachemire, cette forme d'art corporel est utilisée lors des mariages pour les deux jeunes mariés.
Au Rajasthan (Inde du nord-ouest), le mehndi est un art « folklorique », et il est courant que les femmes se fassent des dessins aussi raffinés que ceux des jeunes mariés.
« Pour moi, son génie et son humanité sont seulement comparables à ceux de Mozart », Yehudi Menuhin.
« Ravi Shankar est le parrain de toutes les musiques du monde », George Harrison.
Pas facile, la musique indienne pour nos oreilles d'Occidentaux...
Alors commençons par quelques notes venues du Rajasthan et par un peu d'histoire.
Les couleurs jouent un rôle important dans la vie des Indiens.
Elles ont une signification qui parfois nous échappe.
Voici un petit guide qui vous aidera à vous y retrouver.
Comment parler de l'art indien sans parler de ses miniatures, ces petites merveilles de délicatesse, de raffinement et de poésie ?
Cet art est né au VIème siècle sous la forme d'enluminures de manuscrits sacrés bouddhistes et s'est rapidement propagé dans le reste du sous-continent.
Il existe en Inde de nombreux ateliers perpétuant les techniques de la miniature et offrant aux touristes la possibilité d'assister au travail des artistes.
Les Indiens intègrent l'art dans leur vie quotidienne en dessinant des rangolis appelés aussi ariponas, alponas et kolams dans d'autres parties de l'Inde.